zut, je n'ai pas pensé à l'albatros

j'y retourne   

si j'avais lu ça tout à l'heure je n'aurais pas proposé le condor ou l'aigle    

L'idée initiale de ce poème, paru seulement en 1859, remonterait à un incident du voyage à La Réunion (1841). Pour symboliser le poète, Baudelaire ne songe ni à l'aigle royal des romantiques, ni à la solitude orgueilleuse du condor, décrite par Leconte de Lisle. Il choisit « un symbole plus douloureux » : l'albatros représente « la dualité de l'homme » cloué au sol et aspirant à l'infini ; il représente surtout le poète, cet incompris.

alors là ce n'est sûrement pas mon petit martinet      

à moins que ce ne soit pour ça


Paradis des Albatros / Marcel Martinet
www.paradis-des-albatros.fr/?poete=martinet‎
Poésie : Marcel Martinet est au Paradis des Albatros...

Mon post a disparu une fois de plus ... j'y retourne ...


   Ajonc !         


Je  me suis douté trop tard que le martinet que tu avais vu avec Fidji allait te faire tilt ! ... parce que pour l'oiseau !!!  

Je m'empresse de dire que je ne frappe pas ma chienne, mais la vue de l'objet calme sa force de cheval de labour !


Hé oui, c'est bien le martinet, un oiseau incroyable, dont un m'a honoré de son amitié, je l'emmenais partout !

Pour en connaître plus sur cet oiseau …


"Un « fou volant »

C'est lui, le Martinet noir, que vous pouvez voir, par les belles soirées de Juin, passer à une vitesse incroyable au ras des toits de la ville en poussant des cris éperdus : Srii !… Sriii !… Sriiiiiii !

Le Martinet est en effet, parmi tous les oiseaux de France, celui que la Nature a de toute évidence le plus favorisé sur le plan des performances aériennes.

Non seulement il est capable d'atteindre des vitesses énormes (jusqu'à 200 km/h) mais sa résistance est prodigieuse …

bien que passant le plus clair de son temps en plein ciel, il ne semble nullement atteint par la fatigue et ne se pose que très rarement …

Le Martinet noir se reproduit en vol se nourrit en vol (d'insectes qu'il recueille jusqu'à 5km d'altitude)

dort en vol (sauf le mien qui dormait à côté de mon lit) et ne se pose uniquement que pour élever ses jeunes !

Le martinet a des pattes tellement courtes par rapport à ses ailes très longues qu'une fois posé à plat il se trouve dans une position fort inconfortable"

... d'où la dernière ligne du poème de Baudelaire "L'Albatros".





Il n'est pas rare qu'à la date de leur migration vers l'Afrique, les jeunes doivent se débrouiller tout seuls en quelques jours pour apprendre à chasser.

Sauf exception, ils passeront près de deux ans sans se poser."

J'ai même lu 3 ans sans se poser.


Quand j'étais d'jeun, nous en avions beaucoup qui venaient nicher dans le grenier, et avec mon frère,

nous faisions  la tournée de tous ceux qui étaient coincés dans des cartons et qui étaient incapables de s'envoler ou posés dans le jardin à la merci des prédateurs.

Il fallait les lancer par les fenêtres … je peux dire que nous avons petitement contribué avec mon frère à la survie  d'une espèce d'oiseaux incroyables qui est bien sûr en très mauvaise voie d'avenir …  merci aux pesticides !

Ça fait longtemps que je n'en ai pas vu … Snifff !

Longue vie à ces fous volants qui sont tellement mignons ! … quand on la chance de les côtoyer sur terre …


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